De plus en plus d’entreprises misent sur le télétravail en cette période de crise. Mais que se passe-t-il si l’entreprise ne dispose pas de terminaux pour le télétravail ? PC personnels, ordinateurs portables et tablettes peuvent être la source de problèmes de sécurité. De plus, de nombreuses entreprises ont des exigences élevées en matière de conformité, de sécurité et de protection des données. La solution : l’offre Collaboration 365 depuis le Cloud privé, qui permet même de travailler avec ses équipements personnels (BYOD) en respectant les normes de sécurité les plus élevées.
Discuter de contenus, tenir une réunion avec un client ou gérer ses projets efficacement – de nombreux impératifs quotidiens au travail ne peuvent être réalisés que collectivement. Mais lorsque le travail au bureau n’est plus possible même au sein de petites équipes, il faut trouver rapidement des solutions sûres. Afin d’assurer la continuité de la collaboration et de la communication des équipes en télétravail, de nombreuses entreprises ont recours actuellement à des offres de Cloud public comme Office 365. Cependant, pour travailler avec des applications et des données stratégiques tout en devant respecter les exigences élevées en matière de sécurité et de conformité, il convient d’utiliser le Cloud privé.
Un Cloud privé fermé satisfait aux prescriptions légales en matière de protection des données ainsi qu’au règlement relatif à la protection des données (RGPD). De plus, il est possible de configurer des mécanismes de sécurité poussés. Autre grand avantage : les collaborateurs en télétravail peuvent aussi utiliser les solutions Office comme le courrier électronique, SharePoint ou Skype for Business avec leurs appareils personnels, même si ces appareils n’ont pas été configurés en amont par le service IT de l’entreprise. Une authentification à deux facteurs garantit que seuls les collaborateurs autorisés ont accès au logiciel collaboratif. Le cas échéant, il est possible de bloquer certains types d’appareils à distance de façon ciblée.
Vous souhaitez échanger des informations avec des collaborateurs ou tenir des réunions virtuelles avec des clients via une vidéo ? Pas de problème. Un logiciel de communication collaboratif comme Exchange, Skype for Business ou SharePoint peut aujourd’hui être également installé dans le Cloud privé dans les plus brefs délais. Cela ne coûte pas forcément plus cher car le Cloud privé permet d’avoir des modèles de licence plus flexibles que le Cloud public. Ainsi, à une échelle de 500 à 15 000 postes de travail, le Cloud privé est un modèle d’approvisionnement même moins cher que le Cloud public. Le logiciel peut être configuré de façon personnalisée pour les collaborateurs et être protégé contre les pannes grâce à des SLA. En même temps, il est possible d’intégrer des fonctionnalités supplémentaires comme les services de téléphonie ou de crypter l’échange de données. L’exploitation est possible en self-service et la sauvegarde de toutes les données est automatisée.
Lorsque les entreprises sont tenues de respecter des directives de conformité ou des prescriptions légales très strictes, les données peuvent rester dans un Cloud privé et dans un espace juridique défini. Le Cloud privé de T-Systems est exploité selon des normes européennes dans nos propres centres de données. Ces derniers répondent à toutes les exigences règlementaires qui s’appliquent aux exploitants d’infrastructures stratégiques.
Dans le Cloud privé, des adaptations aux propres instances sont possibles, tout comme l’extension de l’archivage allant de l’intégration au cryptage et des scénarios hybrides connectés aux propres centres de données. Les mises à jour ne sont effectuées qu’après concertation.
Collaboration 365 a un prix compétitif grâce à des conditions de licence avantageuses. Par rapport aux applications Microsoft Office 365 pour le Cloud public, les coûts sont inférieurs de 30 pour cent. L’authentification unique et la gestion des services sont comprises dans le prix par utilisateur. Les licences déjà disponibles restent souvent réutilisables.